Pour les plus vieilles d’entre nous, le mot chapelet est associé à la recitation rebarbative de prière ordonnée par un prêtre suite à une confession asutère ! Et pourtant, bienvenue dans les années 2010, grâce à des objets comme le chapelet anal Sweet sensations, le mot chapelet est désormais synonyme de plaisir anal! Trêve de séances d’auto-flagellation, de mortification à outrance et de culpabilité remâchée! Avec le sweet sensations, j’ai découvert la signification du mot fun! D’abord intriguée par la forme incongrue de l’objet, j’ai demandé à une amie versée dans l’art des sextoys de me renseigner sur son utilité. Stupéfaite de mon ignorance, elle s’est empressée de me faire une démonstration afin d’y remédier. La fascination faisait maintenant place à l’empressement et l’excitation. Un peu blasée par rapport aux sextoys auxquels je trouve un aspect gadget, j’ai été conquise par cet objet vraiment sensationnel. Tout d’abord, il initie vraiment bien à la sodomie grâce au diamètre progressif des boules. Non content d’accoutumer l’anus, il le stimule également de façon particulièrement agréable ce qui nous fait passer de l’accoutumance à l’addiction. Alors on egrène inlassablement le chapelet, pourquoi pas en récitant des prières si l’on veut se débarasser une bonne fois pour toute de la culpabilité inculquée par des années de catéchisme! En tout cas, je conseille cet objet à toutes les femmes désireuses de découvrir des sensations inédites en solo ou en duo, mais toujours avec la bonne humeur!